Rue d’Auron
Des courses m’ont conduite rue d’Auron, en ce samedi après-midi du mois de mai. Cela faisait-il si longtemps que je n’étais pas passée ? Pas tant que cela pourtant. J’ai été frappée du nombre de boutiques vides, à vendre, à louer.
Quel dommage pour une rue qui vivait, qui vit encore de façon exceptionnelle le mélange entre commerces de bouche, vêtements, jouets, ameublement, bars et restaurants. Il y a rue d’Auron de ces petits magasins singuliers qui ne sont pas la simple réplique franchisée de ce que l’on voit partout. Cette forme de commerce peine, surtout quand les mètres carrés commerciaux se multiplient tout autour et que la richesse locale ne croît pas.
A quand une véritable opération de sauvegarde ?
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