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Le pôle de formations sanitaires et sociales de Bourges

Une inauguration officielle du pôle de formations sanitaires et sociales de Bourges a récemment eu lieu. C’est l’occasion de revenir sur la genèse de ce projet et sur ses principaux acteurs.

A l’origine, c’est un travail à trois : Jean-Pierre Saulnier, alors vice-président en charge du développement universitaire puis président du conseil général ; moi-même, alors vice-présidente du même conseil général, en charge des solidarités ; et Philippe Fournié, vice-président de la région, alors en charge des formations sanitaires et sociales.

Depuis des années, Jean-Pierre Saulnier s’est attaché au développement universitaire berruyer. Il a ferraillé pour obtenir l’ouverture de nombreuses formations sur Bourges, principalement dans le domaine technologique. De mon côté, observatrice attentive des besoins des établissements sociaux et médico-sociaux, je constate la difficulté de recruter, à Bourges et dans le Cher, l’ensemble des professionnels nécessaires pour répondre aux besoins des structure d’accueil de la petite enfance, des personnes en situation de handicap et des personnes âgées. Le mieux serait de former sur place. Je convainc Jean-Pierre Saulnier de s’y intéresser. Nous trouvons en Philippe Fournié, vice-président de la région, très attaché au maillage territorial des formations, une oreille très attentive. Philippe et moi sommes particulièrement conscients de la difficulté à mener des carrières entières sur des fonctions parfois éprouvantes et voyons tout l’intérêt de regrouper en un même site différentes formations, pré ou post-bac, pour susciter et favoriser des passerelles entre métiers. L’idée du pôle de formations sanitaires et sociales est né.

La suite résulte de l’engagement de différents partenaires : l’école d’infirmières de la Croix-Rouge, l’Ecole Régionale de Travail Social de Tours, ouvrant une antenne à Bourges, le centre de formation de préparateurs en pharmacie, …

Ce pôle peut encore s’étoffer. Avec Philippe Fournié, nous avions lancé l’idée d’ouvrir à Bourges une formation d’ergothérapeute, métier pour lequel on manque cruellement de professionnels. Une idée à travailler.

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