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Il ne faut pas banaliser Bourges

Passer en revue les différentes manifestations et événements berruyers pour réinterroger leur pertinence : c’est ce qui est normalement attendu d’une nouvelle équipe municipale. Je ne suis donc ni choquée ni catastrophée de la disparition du pseudo-forum social ni du festival du film écologique.

En revanche, la suppression de la biennale ou à tout le moins sa dénaturation me  paraît être une faute. L’Ecole Nationale Supérieure d’Art est une des pépites de Bourges. Il faut la mettre en valeur et s’en servir pour faire reconnaître Bourges comme un lieu d’émergence de la culture. La biennale – forcément en mouvement perpétuel – y contribuait comme elle contribuait à l’apprivoisement par la population berruyère de la création artistique. Ce pari sur l’avenir, pari économique, pari culturel, pari démocratique, méritait d’être poursuivi.

Cet article comporte 1 commentaire

  1. En tant que président du Centre d’art contemporain “Parc saint Léger” de Pougues les Eaux (Nièvre), structure partenaire de l’Ecole d’art de Bourges, complétement d’accord et solidarité.

    Amitiés socialistes

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