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De l’indépendance de l’expertise et de l’application du principe pollueur-payeur

Je participais jeudi à une réunion à l’Institut National des Risques Industriels où je m’exprime, comme élue, sur les préoccupations des citoyens.

Nos échanges ont porté sur les programmes d’appui aux politiques publiques de l’institut, à moyens décroissants, autour de trois thématiques :
– la maîtrise des risques liés à la transition énergétique et à l’économie circulaire
– la maîtrise des risques à l’échelle d’un site industriel et d’un territoire
– la caractérisation des dangers des substances et de leurs impacts sur l’homme et la biodiversité par l’air, l’eau et les sols.

Avec, sur le plan déontologique, d’intéressants questionnements à la suite de l’incendie de Lubrizol : faut-il faire prévaloir l’indépendance absolue des instituts et agences publiques vis-à-vis des industriels (position de l’ANSES) ou demander l’application du principe pollueur-payeur.
Dit autrement : qui paie le suivi des analyses faites par l’INERIS et les expertises mobilisées : le contribuable ? Ou le pollueur ?

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