De la maladie d’Alzheimer à “la confusionite”
France Alzheimer proposait cet après-midi à Bourges “la confusionite”, une pièce de Colette Roumanoff, “une pièce joyeuse pour parler d’un sujet grave“. Un peu trop optimiste pour les familles confrontées à la maladie ? Peut-être. Mais très tendre et très juste sur les comportements à adopter et ceux à écarter.
Il faut apprivoiser cette maladie qu’on ne sait pas guérir. L’association a lancé ce printemps une très belle – très touchante aussi – campagne de communication. Elle doit nous aider collectivement à repenser notre rapport aux malades. Je vous en donne le lien.
Pendant dix ans, avec conseil départemental , j’ai accompagné la création “d’unités Alzheimer”. Sans doute ce qu’on savait et qu’on sait encore faire de mieux. Ou de moins mal. Un progrès par rapport à l’époque où les malades subissaient une contention physique ou médicamenteuse. Mais ce n’est pas satisfaisant.
Il faut aujourd’hui et demain innover, radicalement. Je souhaite que nous y travaillions encore ensemble.
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